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    hopper 

    Gloomy sunday, sombre dimanche comme le chantait Gainsbourg puisqu'en ce jour on apprenait la disparition à 74 ans de Dennis Hopper véritable légende du cinéma qui a fait parti activement de la glorieuse décennie du cinéma américain des seventies . Avec plus de 115 films et une participation à des centaines de séries et productions télé Hopper était un acteur des plus productifs mais aussi un réalisateur talentueux qui comptent de nombreux films à son actif dont les mythiques Easy Rider et Out of the blue. Born to be wild on l'imagine maintenant chevauchant une immense Harley Davidson sourire aux lèvres right on the highway to hell. Voici en images 10 films absolument indispensables pour ne jamais oublier Dennis Hopper.

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      L'occasion faisant le larron je vais lâchement profiter de la sortie en salles du remake de Les griffes de la nuit pour remettre au goût du jour un vieil article pamphlétaire sur les remakes ( moi aussi je recycle et je reboot mes articles). Car en tant que grand fan de cinéma fantastique et d'horreur je commence à sérieusement en avoir marre de cette mode des remakes à tour de bras à laquelle s'ajoute maintenant l'option reboot sans compter que bientôt on va bien nous faire le coup du reboot, remake version 3D. Certes la pratique ne date pas d'hier mais là on frôle l'overdose tant depuis quelques années cela devient assez systématique au point de ne plus s'en étonner et d'en avoir presque fait une norme. Les annonces de remakes et de reboot sont de plus en plus nombreuses et on annonce déjà les photocopies de Near darkPoltergeist, Scanners, Vidéodrome, Simetierre, Hellraiser, Creepshow, The blob , un nouvel Amytiville pourtant déjà refait récemment, Morse, Total recall , Mother's day, Les chiens de paille, Millenium, Bonnie and Clyde, L'histoire sans fin, L'orphelinat, L'ascenseur .... On pourrait continuer longtemps et en faire une liste longue comme le bras surtout si on y ajoute les remakes adaptations de séries télé. 

    En
     tout cas j'avais envie de pousser un gros coup de gueule contre cette triste manie opportuniste de refaire très souvent en pire ce qui existe déjà en beaucoup mieux.

    remake


    Pour commencer il faut tout de suite arrêter avec cette pseudo hypocrisie consistant à trouver assez systématiquement des vertus cinéphiliques aux remakes. C'est bien joli de mettre en avant cette envie pleine de générosité de faire découvrir au grand public des œuvres du passé,mais comment peut on vraiment vanter le film d'origine tout en démontrant en même temps par la mise en route du remake ,combien l'on trouve que ce même film est vieillot , dépassé voir complètement obsolète ? Car l'un des paradoxes du monde merveilleux du remake c'est que lorsque l'on adore un film et que l'on souhaite le faire découvrir aux nouvelles génération (argument de nombreux réalisateur et producteurs de remake) et bien on ne le montre pas et on cherche à en faire une œuvre de substitution. Pourquoi ne pas tout bêtement montrer le film tel qu'il est avec une ressortie en salles ? Et bien non on préféré le refaire sous la forme d'un nouveau film au goût du jour. Ce n'est pas une démarche artistique mais souvent purement commerciale et mercantile car l'art du remake consiste le plus souvent aujourd'hui à prendre un film et à le formater afin d'en faire un produit susceptible de plaire à la majorité des spectateurs. En gros et pour schématiser on ne pousse pas du tout le grand public à élever son niveau critique ou sa curiosité, on ne cherche jamais à lui montrer d'autres choses que ce qu'ils désirent simplement voir. Le but n'est pas de venir élargir notre approche du cinéma , de nous encourager à aller découvrir des films d'hier ou d'ailleurs .... on se contente de nous livrer sur un plateau des films complètement calibrés et formatés à nos attente à l'image de 95% de la production actuelle. Ce n'est plus au public de faire le moindre effort c'est au cinéma de se mettre au niveau et de souvent s'abaisser aux attentes du grand public. Mais plutôt que de continuer à partir dans tout les sens en parlant des remakes de façon très général je vais prendre quelques exemples concrets.

    remake

    Je vais commencer très fort avec sans doute la forme la plus indéfendable des remakes consistant simplement à adapter à la sauce locale des films qui ont le triste handicap de ne pas être américain. On pourrait parler de toute la vague des remakes de films asiatiques tels que Ring, Dark Water , The grudge, Kaïro, The Eye, 2 sœurs puis élargir le tir aux films espagnols, français et nordiques puisque on parle déjà de remakes de L'orphelinat, Timecrimes, Morse, Millenium, Le convoyeur, Pour elle et même Martyrs. Bon je reconnais que ce sont de très très vieux films , anciens et certainement dépassés techniquement puisque tous sortie avant 2010 et que forcement pour le coup le remake s'impose presque de lui même. En fait tout en avouant que ce sont de très bons films avec de vrais potentiels commerciaux Hollywood légitime la mise en chantier d'un remake sur le simple argument d'un exotisme trop important car il faut reconnaitre aussi que ce sont des films quand même un petit peu trop asiatiques ou européens. Et c'est une évidence qui ne peut échapper à personne dans ces cas précis, Hollywood adore le cinéma d'ailleurs dès l'instant qu'il ressemble un minimum à celui de chez lui. On est même plus dans un débat sur la dualité artistique ou commerciale légitimant la pratique du remake mais dans des eaux bien plus troubles encore. C'est ici une sorte triomphe de la globalistion,car dans un soucis d'identification on balaye, on nettoie et finalement on remplace tout ce qui est spécifique à la culture de l'autre afin de transformer un film à l'image de nos propres repères. Mais bon en même temps c'est vrai que c'est très chiant tous ses films étrangers avec pleins de gens qui ne nous ressemble pas dedans et qui en plus ne font aucun effort pour qu'on les comprenne puisqu'ils parlent souvent une langue étrangère....... Je n'irais pas jusqu'à parler de racisme mais simplement d'impérialisme culturel à travers cette volonté d'accepter les autres des l'instant qu'ils ne sont plus tellement différents de nous et qu'ils abandonnent tout ce qui fait leur spécificité afin de nous ressembler totalement. Parfois on ne change rien au fond et on ne lisse que l'image pour faire plus ricain comme ce fût le cas pour Funny games et En quarantaine le remake plan pour plan de Rec de Balaguero et Plaza. Car on est aujourd'hui en droit de se demander ce que va devenir Morse le superbe film de Thomas Alfredson sans les décors enneigés de la Suède, sans cette imposante grisâtre et massive architecture, sans la blondeur angélique de son héros et sans son univers totalement glacial, difficile aussi d'imaginer la transposition de Bienvenu chez les ch'tis, le téléfilm de France 3 Nord Pas de Calais,sans avoir le Nord de la France et son patois. Alors bien évidement Hollywood a toujours des atouts de bonne conscience hypocrite dans ses manches comme d'engager souvent des réalisateurs asiatiques et étrangers afin de leur faire refaire leur propre film,ou de situer l'action du film à l'étranger comme au Japon pour The grudge. Mais dans l'ensemble la justification de ses remakes tient en une seule et unique idée qui est de prétendre que seul le cinéma américain est susceptible de convaincre le grand public et surtout d'intéresser les spectateurs car la culture des autres ne doit finalement servir que la machine à produire.

    remake


    En fait un remake devrait être et c'est la moindre des choses une approche résolument nouvelle et moderne d' une œuvre antérieure, c'est pour cette raison que je suis un peu plus ouvert au concept de reboot qu'à celui du remake. En réalité il n'en est rien car paradoxalement plus on avance et plus on recule (qui a dit "comment veux tu "??) et dans une grande majorité des cas les remakes sont souvent bien plus fadasses, moins virulents et plus gentil que les films originaux. Je prendrais comme exemple les trois récents remakes de Zombie, La dernière maison sur la gauche et Massacre à la tronçonneuse qui ont pour eux d'être de bons films et contre eux de n'être strictement rien de plus. Par commodité j'aurai put choisir de m'attaquer à des films tels que Amytiville, The fog,Hitcher, 666 La malédiction ; mais j'ai choisit trois des oeuvres les plus respectées de ses dernières années en tant que remake. C'est vraiment étonnant de constater à quel point en vingt ans le cinéma aura perdu en férocite, en transgression , en virulence et même en violence graphique. Car c'est finalement le comble absolu du remake que de proposer souvent des visions passéiste et finalement plus rétrograde que leurs modèles ce qui est à mon avis le cas pour les trois films en questions. Car je pense très sincèrement que L'armee des morts de Zack Snyder tout comme le Massacre à la tronçonneuse de Nispel et La dernière maison sur la gauche de Dennis Illiadis ne sont ni plus ni moins que les versions timides et politiquement correct de leurs illustres modèles , là ou précisément on pouvait rêver qu'elles soient plus hargneuses et virulentes. Le film de Snyder pour commencer n'est pour moi qu'un film d'action assez bourrin et sans âme qui délaisse exactement tout ce que faisait de Zombie un film profondément différent et singulier.Car en écartant tout l'aspect politique et social du film de Romero ainsi que les débordements ultra gore de Tom Savini qui sont deux points essentiels du film de départ, Snyder a transformé un chef d'œuvre en un film complètement banal et aseptiser. Il faut ne pas oublier que Romero avait précisément fait l'inverse en transformant un banal film d'horreur en un classique quasi instantané. Il n'y a plus aucune profondeur ou réflexion dans L'armée des morts , plus de questionnements sur notre société, plus aucun aspects rugueux ou un poil déplaisant. Et comment ne pas en vouloir à Snyder de ne pas relayer le message de Romero pour dénoncer avec un film d'aujourd'hui ce monde merveilleux qui est le notre avec son ultra consumérisme et son culte de l'apparence ! Mais ce n'est pas que dans le fond que l'on régresse car comble de l'hérésie et bien qu'étant vendu comme ultra gore , le film de Snyder est monstrueusement moins violent et sanguinolent que son prédécesseur .On pourra facilement le noter en constatant par exemple que cette version prétendument moderne oublie avec politesse de montrer que les zombies sont avant tout des anthropophages gloutons et bien dégueulasses. A bien y regarder même La nuit des morts vivants datant de 1968 est plus généreux en effets gore et en tripailles que le film de Snyder, c'est dire à quel point on avance !

    remake

    Concernant le remake de Massacre à la tronçonneuse par Marcus Nispel le constat est quasiment le même à savoir que tout ce qui fait défaut à mon premier est exactement ce qui fait la spécificité de mon second. Le film de Tobe Hooper est un chef d'œuvre absolu car il offre une vision profondément putride, crade, maladive,dérangeante et malsaine de l'horreur. En mettant clairement la pédale douce sur ces aspects là, Marcus Nispel se place immédiatement dans une vision edulcorée et passéiste de l'horreur. C'est ainsi que l'on passe joyeusement d'un film terriblement éprouvant à une inoffensive série B horrifique. Marcus Nispel ,dans un véritable aveu d'impuissance a s'approcher de la noirceur du film de Tobe Hooper remplace même la terrifiante folie malsaine du repas de famille final par une course poursuite digne de n'importe quel slasher lambda. Il faut ajouter à cela une photo très esthétisante là ou le film d'origine était à l'opposée "sale et granuleux" et voilà comment on obtient un Massacre version light, propre et lisse. On pourrait alors parier que beaucoup des gens qui détestent l'aspect viscéral et sombre du film de 1974 vont adorer celui ci tant il ne prends jamais de gros risques pour être dérangeant. Il suffit de regarder le sort réserver aux deux enfants du film , l'un sera le sauveur de l'héroïne et l'autre sera sauvé par celle ci dans une fin sombre mais toujours bien pensante. Le constat est malheureusement sans appel , plus on avance dans le temps et moins on a les couilles de faire des films extrêmes qui ne caressent pas de façon bien docile les spectateurs dans le sens du poil. Plus de vingt ans après leurs sorties respectives les films de Hooper et Romero demeurent ainsi bien plus modernes dans leur approche radicale de l'horreur que les deux remakes de Snyder et Nispel. En poussant le raisonnement jusqu'à l'absurde on pourrait même penser que ce sont les deux films originaux qui sont en fait des remakes des œuvres de Nispel et Snyder ( ne partez pas !!...... je vais m'expliquer). Le Zombie de Romero et le Massacre à la tronçonneuse de Hooper offre des visions tellement plus forte, plus radicale , plus violente , plus intelligente , plus sincère, plus sombre , plus profonde que les films de Snyder et Nispel, que ce sont paradoxalement les œuvres prétendument modernes qui font ici figure de vieux films. C'est d'autant plus triste que Snyder et Nispel ont visiblement beaucoup de talent et qu'il serait du coup bien plus intéressant de les voir aux commandes de film plus originaux et personnels.


    remake

    Concernant le remake de La dernière maison sur la gauche par Dennis Iliadis on gagne encore une fois en esthétisme tout ce que l'on perd en noirceur. Il est incontestable que cette nouvelle version surpasse le film de Craven sur des aspects techniques et sur la cohérence de son récit, en revanche jamais le film de Dennis Iliadis n'arrive à atteindre la violence viscérale et le malaise que pouvait provoquer le film de Wes Craven. Là encore la violence et la noirceur sont bel et bien là mais de façon édulcorée par rapport au film d'origine. Le constat est toujours le même plus de trente ans après l'original demeure plus bien puissant en matière de malaise et d'inconfort.

    remake

    Quand au futur possible remake d'Evil dead que l'on annonce depuis plus de six ans maintenant il est complètement foireux des le départ tant il est déjà avant même d'être tourné l'antithèse parfaite de son modèle. Le film de Sam Raimi tire une grande partie de sa puissance dans son cote " petit film bricolé avec trois bout de ficelles mais transcendé par la foie et la folie furieuse de son réalisateur". Alors nous refaire un Evil dead dans le cadre d'une production confortable avec tout les moyens nécessaires serait dores et déjà renier l'essence même du film d'origine.

    Et puis la prolifération de remakes n'est d'une manière générale que le reflet à peine déformé de notre société avec son jeunissme à tout va et son culte de l'apparence et de la superficialité. On pourra toujours trouver toutes les excuses et les prétextes les plus faux cul du monde pour justifier un remake , mais dans 95% des cas cela consiste à prendre un film et à le formater selon des critères strictement commerciaux afin de plaire à une cible précise qui dans le cas des films d'horreurs est souvent les d'jeunzz qui restent les plus gros consommateurs de films et de popcorn. Bon !! je vais immédiatement faire une petite mise au point avant de poursuivre afin de préciser que je ne souhaite pas faire de grandes généralités sur les jeunes qui vont au cinéma car je sais que certains sont très cinéphiles etc etc...... Je parle ici du très "grand public"de ceux qui sont précisément incapable de regarder un film s'il n'est pas dans la tendance actuelle. Car on ne produit jamais des remakes pour les cinéphiles mais souvent pour des imbéciles incapables de regarder un film si celui ci est en noir et blanc, étranger , sans effets spéciaux numériques ou plus simplement profondément ancrée dans une époque qui n'est pas la leur. D'ailleurs la phrase alibi des faiseurs de remakes est souvent la même « faire découvrir aux jeunes générations » Alors on pourra toujours me lancer la phrase définitive "ben oui ,mais quand même il existe des films qui vieillissent super mal", une affirmation à laquelle je répondrais simplement sans me démonter d'un ton laconique "et alors?". Personnellement j'adore les vieux films et bien souvent ce sont précisément tout les petits défauts que les remakes s'acharnent souvent à effacer qui en font le charme incomparable. En partant de ce principe je n'échangerais donc jamais deux minutes du pire des Godzilla de la Toho contre le remake boursoufflé d'effets spéciaux de Roland Emmerich. Je ne vois absolument pas en quoi cela est dérangeant qu'un film soit le reflet de son époque et qu'il témoigne ainsi de l'évolution non seulement du cinéma mais aussi de notre société et de ses préoccupations. Le cinéma, la technique, les envies, la société, tout évolue à une vitesse folle et comprendre le présent c'est souvent connaître le passé. Notre rapport aux vieux films n'est finalement peut être pas très loin de notre relation vis à vis des personnes âgées ......... Bon là, je sens que je me lance dans une comparaison un peu casse gueule mais tant pis j'y vais !! Pour moi aller vers un vieux film c'est comme d'aller écouter un vieux parler , cela demande certes un tout petit effort comme de tendre l'oreille, d'être souvent un petit peu plus patient, d'accepter de regarder en face des rides et des imperfections, d'être sans doute plus attentif et ouvert et de laisser pour un temps de coté notre quotidien ........mais c'est aussi souvent là qu'on apprends le plus de choses, qu'on comprends et que l'on devient plus riche. L'attitude remake en revanche ce serait plutôt de prendre une gentille petite vielle afin de lui tirer la peau, de lui lifter la tronche pour ensuite la maquiller et lui refaire la tête afin qu'elle ressemble à une minette de magazine, après la façade il faudra bien évidement concentrer les efforts pour la faire parler comme une jeune, la faire bouger comme une jeune et finalement se comporter exactement comme la masse exige de le faire. Enfin avec un petit peu de chance on viendra s'intéresser un peu à elle en tout cas à ce qui reste de ce qu'elle était à l'origine. Oui je sais c'est sans doute un poil tirer par les cheveux ......Quoique ?? .

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    Et puis comment ne pas comprendre que l'avenir du cinéma passe fatalement par le fait de reconnaitre son passé. En refaisant éternellement encore et toujours les mêmes films on refuse à la fois que le cinéma puisse vieillir et qu'il puisse évoluer puisque l'on remplace alors systématiquement la création par la redite. Le plus triste c'est que cette mode marche plutôt bien et que de ce fait on maintien le grand public dans sa paresse et son manque de curiosité. Le système de distribution français emboite souvent le pas en offrant assez systématiquement une sortie avec une bonne couverture de salles aux remakes (Une centaine de salles pour Freddy- Les griffes de la nuit) tandis que des œuvres plus originales ( Shaun of the dead , May , Bubba Ho-tep ) doivent parfois attendre deux ou trois ans avant de trouver quelques salles quand elles ne sont pas condamnes au direct to DVD comme The fall, Fragile ou à la non distribution pur et simple comme All the boys love Mandy Lane. Et puis à force de formater l'esprit critiques du grand public sur des produits cyniques , opportunistes et pré-digérés on risque fort a long terme de devenir complètement incapable d'apprécier un cinéma simplement différent "....... Une grande partie de la richesse du cinéma vient de son extrême diversité alors quel intérêt de toujours reformater la création dans un unique moule ??

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    Et bien voilà !! je reconnais très volontiers le coté complètement pamphlétaire de cet avis et de ce billet d'humeur mais je tiens toutefois à le nuancer un tout petit peu afin de ne pas passer pour un ayatollah conservateur idiot et allergique à tout les remakes du monde. Car malgré tout ce que je viens de dire il reste la simple notion de plaisir à regarder un film et il existe des remakes qui trouvent grâce à mes yeux car ce sont tout bêtement des films qui ont à travers de vrais ambitions artistiques le désir de dépasser voire sublimer par l'hommage leur modèle avec un amour profond et sincère du cinéma. Pour conclure sur une note plus positive je citerais donc La mouche de Cronenberg , The thing de John Carpenter , La nuit des morts vivants de Tom Savini , Willard de Glen Morgan , King kong de Peter Jackson ,Body snatchers  de Abel Ferrara , La colline a des yeux de Aja, Hallowween de Rob Zombie ................. Quand les réalisateurs sont grands et que les ambitions sont nobles, les remakes peuvent aussi être des grands films.

     

     


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