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    The Ward (John Carpenter'sThe ward)

    de John Carpenter

    USA (2011) Fantastique / Thriller / Comeback pépère.

    The Ward de John Carpenter

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    Cela fait dix ans que les fans de Big John attendent son retour en fanfare sur les écrans de cinéma et même un peu plus pour ceux qui comme moi considère Ghost of Mars comme un film très moyen et place donc Vampires (1998) comme le dernier grand film de Carpenter. Plus de dix ans à voir Big John apposé son nom de producteur exécutifs à des remakes aussi insipides que Fog ça commence à faire long. Une attente à peine récompensé avec The wad car si John Carpenter signe un retour efficace il le fait en mode mineur et pépère...

     The ward c'est l'histoire de Kristen (Amber Heard) une jeune femme pyromane et incendiaire qui se retrouve enfermée dans un asile psychiatrique avec une poignée d'autres jeunes filles. Après elle se met à danser et va fighter des robots ninjas... Euh non.. ! C'est un autre film ça. Kristen va très vite se rendre compte que pour sortir de cet asile il est bien moins difficile de prouver que l'on es pas fou que d'échapper à un mystérieux fantôme qui décime une à une toutes les pensionnaires de cette unité de malades.

    The Ward de John Carpenter

     The ward est donc un Carpenter mineur et une bien banal histoire de fantômes. On retrouve toutefois avec plaisir la patte de Carpenter dans une mise en scène aussi classique que élégante orchestrant avec une certaine efficacité ce huis clos à menace interne. Bien que signé Mark Killian la très bonne musique du film se dote d'accents à la Carpenter du plus bel effet et assure de ce fait une bonne partie de l'ambiance du film. Pourtant aussi plaisant soit il , The ward ne décolle jamais de son statut de petite série B certes efficace mais déjà vu. D'ailleurs le twist ending, bien que parfaitement cohérent et malin ne fera que renforcer cette sensation d'un film un peu bateau, presque facile et sans grandes surprises. L'autre grande déception vient du fait que hormis deux ou trois séquence un poil plus percutante que les autres (Le monte charge, le plan final) The ward n'est jamais vraiment angoissant et encore moins effrayant. Si il s'avère trop classique The ward évite toutefois quelques clichés inhérent au genre comme les filles trop azimutées, les infirmiers sadiques et le docteur démoniaque.

    The Ward de John Carpenter

     On notera aussi avec plaisir que Carpenter est toujours un bon directeur d'acteurs avec une poignée de jeunes filles et actrices fort convaincantes. En tête de liste on retrouve la délicieuse Amber Heard qui prouve une nouvelle fois qu'elle est aussi belle que bonne actrice. A ses cotès on notera les jolies performances de Danielle Panabaker (The crazies), Mamie Gummer (pour une actrice d'à peine 30ans c'est dur à porter comme prénom) et Lyndsy Fonseca ( Kick ass, Hot tube time machine). The ward est donc , tout comme Ghost of Mars, un film essentiellement porté par des femmes.

     The ward est donc un retour par la petite porte, on ne retrouve jamais la maestria de la terreur dont est capable Carpenter (The thing, Halloween, L'antre de la folie) ni sa rage communicative (Los Angeles 2013, Invasion L.A) mais il reste son évidente maîtrise et son savoir faire. C'est pas grand chose mais c'est déjà ça...

     

    Ma note:  06/10

     


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    The woman

    de Lucky McKee

    USA (2010) – Horreur / Drame / Gore féministe

    The woman de Lucky McKee

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     Le réalisateur du sublime May revient en force après la déception de son second film The woods. Il s'associe cette fois ci à l'auteur Jack Ketchum responsable entre autres choses du traumatisant The girl next door. The woman est un film qui se trimballe une réputation assez sulfureuse essentiellement due à sa présentation à Sundance, un festival dans lequel les spectateurs ne sont pas forcément habitués à ce type de spectacle. Car objectivement The woman n'a pas de quoi susciter effroi et polémique plus que de raison même si le film flirte parfois avec l'ambiance oppressante et insupportable de The girl next door.

     The woman raconte l'histoire d'un brave père de famille traditionaliste qui entreprends avec l'aide de sa femme et ses enfants de civiliser une jeune femme sauvage après l'avoir capturée et enfermée dans sa cave.

    The woman de Lucky McKee

     On retrouve donc dans The woman de nombreux points communs avec The girl next door de Gregory Wilson, Jack Ketchum replongeant une nouvelle fois une famille dans une violence institutionnaliser par les préceptes idéologiques d'un puissant chef de famille et se cristallisant sur une pauvre victime, une nouvelle fois une jeune fille enfermée. Ce chef de famille, interprété par Sean Bridgers, est un homme aimable sous bien des apparences tout en étant un monstre de machisme, de misogynie et de violence ordinaire. Car le film de Lucky McKee est avant tout une puissante et féroce charge contre le machisme ordinaire d'une société dans laquelle les femmes doivent être avant tout des mères serviles, des servantes obéissantes et des objets sexuels. Pour ce père de famille la civilisation d'une femme libre et indépendante passe par l'asservissement total de son corps et son esprit.

     Les personnages féminins du film sont tous particulièrement touchant à l'image de cette mère de famille à la fois en révolte et prisonnière de sa condition interprétée par la sublime Angela Bettis. Difficile également de ne pas se prendre de tendresse pour la fille ainée de la famille, interprétée par Lauren Ashley Carter, brisée par la crainte de son propre père violent et sans doute incestueux. Dans un rôle bien plus abrupt et physique on pourra également saluer la jolie performance de Pollyana McIntosh en sauvageonne.

    The woman de Lucky McKee

     The woman est un film qui va crescendo dans une tension et une violence psychologique qui, sans atteindre les sommets de noirceur de The girl next door , flirte une nouvelle fois avec le malaise le plus profond. On est parfois révolté et mal à l'aise devant cette violence trop ordinaire de cet homme abject d'autant plus qu'il transmet sa haine et sa conception des devoirs féminins à son jeune fils (véritable tête à claques) comme une bien triste connerie héréditaire. Le final monstrueusement gore et du coup presque trop exubérant, ne sera toutefois que le reflet psychologique d'une condition féminine se libérant avec violence d'un immonde machisme qui la maintien prisonnière en laissant surgir des profondeurs ses instincts les plus bestiaux.

     The woman est un très bon film, intense, douloureux, dramatique et parfois outrancier mais qui sonne comme un coup de mâchoire enragée sur les roustons d'une misogynie ordinaire. On oubliera donc bien volontiers les quelques défauts du film comme sa mise en place un poil trop longue, son final sans doute un peu too much et surtout les scènes un poil caricaturales montrant cette jeune femme à l'état sauvage pour ne garder que l'essentiel à savoir que The woman est un grand film d'horreur en colère.

     

    Ma note : 07,5/10  

     


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    hobo with a shotgun Le cinéma Grindhouse ressuscité par Tarantino et Rodriguez continue de faire de sales rejetons difformes comme le prouve ce Hobo with a shotgun, premier film de Jason Eisener. Le jeune réalisateur a d'ailleurs pu financer et tourner son film grâce au concours de fausses bandes annonces grindnouse qui avait suivit la sortie du film regroupant Boulevard de la mort et Planète terreur. Mais derrière ses allures de gros délire gore et de pur film d'exploitation Hobo with a shotgun cache la vision hallucinante de noirceur d'un monde en perdition totale.

     

    Hobo with a shotgun raconte l'histoire d'un clochard qui arrive dans un petit bled paumé dans lequel sévit une sorte de dandy malfrat qui ,avec l'aide de ses deux fils dégénérés, tient la ville sous sa coupe par la violence extrême avec laquelle il terrorise ses concitoyens. Un soir ce sans abris sauve une prostituè dont le destin semblait bien mal engagé et il comprends surtout que la ville est gangrénée par le mal jusque dans son commissariat. Lassé de voir la violence se répandre sur le trottoirs et sous ses yeux le clochard achète alors un fusil à pompe avec les quelques dollars qu'il a durement gagné et décide de nettoyer la ville de toute la merde qui s'y trouve...

    hobo with a shotgun

     

    Hobo with a shotgun est un gros délire bourré jusqu'à la gueule de violence, de mauvais goût, de politiquement incorrect, de répliques ordurières hilarantes (Je vais nettoyer le trou du cul qu'il me reste collé sur le visage) et de nombreux effets gore absolument monstrueux; un gros bordel déviant devant lequel tout amateur de bis devrait prendre un pied absolument monstrueux. Un vrai film grindhouse, peut être plus encore que Machete, qui ne se contente pas ici de singer la forme du cinéma d'exploitation mais qui lui rend hommage à travers l'esprit d'un cinéma radicale et rentre dedans qui n'avait pas peur de tout les excès. On retrouve donc tout ce qui fait le charme incomparable d'un pur produit old school des seventies et eighties avec un casting de trognes filmés en gros plan, des méchants bien caricaturaux, du sexe, une méchante vendetta de justicier à la Bronson et surtout une profusion assez hallucinantes de séquences gore aussi jouissive que bien teigneuse. Le film se rapproche parfois dans ses délires les plus fous (motards customisés comme des robots, personnage utilisant l'os saillant de sa main arrachée comme une arme) des films japonais complètement barré jouant sur la profusion de grandes gerbes d'hémoglobine. Jason Eisener est plus que généreux et son film est un festival comme on en avait objectivement pas vu depuis longtemps. Du gore parfois outrancier comme ce corps éventré d'un coup de batte de baseball recouvert de lames de rasoirs ou ce pauvre clochard explosé par le godet d'une pelle mécanique, souvent bien teigneux à l'image de ce flic totalement explosé à coup de tirs de fusil à pompe à bout portant et parfois douloureux comme cette terrible tentative de décapitation à la scie à buches. Rien à dire Hobo with a shotgun explose largement le quota de ce que l'on est en droit d'attendre de ce type de film. Niveau références on pense aux western spaghettis, au Justicier dans la ville, à Django avec ces motards trimballant un cercueil derrière eux, aux productions japonnaise type Machine girl, à Braindead pour les sévices à coup de tondeuse à gazon, les post apocalyptiques ritals des années 80 et plus globalement à l'esprit de tous les films bien badass.

    hobo with a shotgun

     

    Pourtant, au delà des apparences d'un simple gros délire de bourrin régressif Hobo with a shotgun cache, non pas une vraie profondeur psychologique, mais la noirceur du regard que porte ce clochard sur le monde. La plupart des critiques que j'ai pu lire à droite et à gauche ne pointe du doigt que les aspect les plus fun d'un film, pourtant j'aime à penser que Hobo with a shotgun n'est pas seulement un film rigolard mais aussi un film en colère. Si le film joue incontestablement sur un second degré constant en forçant le trait jusqu'à la caricature (le bus scolaire passé au lance flammes ) il réserve aussi des moments plus grave ou la violence se fait plus sèche et douloureuse comme lorsqu'une mère et sa fille sont brûlés vives dans une poubelle. Inutile de parler de film à thèse mais Hobo with a shotgun montre tout de même la révolte de celui qui n'a plus rien que l'expression d'une rage nourri par des années de mise au banc de la société alors que celle ci encourage paradoxalement la violence par une « politique » de l'insécurité visant à tenir les citoyens tranquilles (voir l'intervention télé des deux fils de Drake). Comme l'expression d'une rage viscérale, d'une colère monstrueuse qui ronge notre esprit, la vengeance de ce clochard n'est que la déflagration incontrôlable d'un trop plein de violence subit chaque jour. La forme et l'esprit grindhouse du film permette fort heureusement d'éloigner Hobo with a shotgun d'un réalisme et d'un premier degré qui aurait pu faire basculer le film vers la célébration réac d'un nettoyage des rues au karcher. Dans sa forme allégorique de divertissement pour adultes, dans le cadre délirant d'un pur produit labellisé grindhouse j'avoue avoir pris un pied d'enfer à voir des pédophiles se faire exploser la gueule, des flics pourris et violeurs se faire défoncer à coup de fusil, des macs violent se faire refroidir et des putes prôner comme à la tribune la révolte de ceux qui n'ont plus rien et le respect du foyer ceux qui vivent dans la rue. Jason Eisener pointe également du doigt l'exploitation absolument dégueulasse des sans abris par des imbéciles qui se font du fric et de la publicité en filmant des combats de clodos et autres humiliations contre quelques dollars. Ce type de vidéos immondes existent malheureusement montrant à quel point les exclus de nos sociétés sont devenus des figures dont l'humanité semble n'avoir plus de visage ou d'histoire, une preuve supplémentaire que Hobo with a shotgun n'est un film totalement gratuit.

    hobo with a shotgun

     

    Et puis comment ne pas évoquer l'homme derrière le fusil à savoir l'immense Rutger Hauer, acteur culte (et pour une fois ce n'est pas totalement galvaudé) de Blade Runner, Hitcher, Flesh and Blood, Ladyhawke qui comme pas mal d'acteurs de cette génération avait un peu sombrer dans l'oubli de sombres DTV tourné en Europe de l'est avant de revenir dans des seconds marquant rôles de grosses productions comme Batman begins ou Sin city. C'est un immense plaisir de retrouver Rutger Hauer d'autant plus que l'acteur livre ici une performance sérieusement au dessus des figures caricaturales des derniers films grindhouse comme Danny Trejo dans Machete. Figure charismatique, présence monstrueuse et rage qui traverse l'écran, le comédien donne aussi à son personnage une mélancolie et une profondeur parfois très émouvante. Impossible d'oublier par exemple la tendresse dont fait preuve l'acteur pour exprimer ses rapports avec la jeune pute dont il est devenu le protecteur, la petite scène durant laquelle il offre les yeux embués quelques fleurs à moitié fanées à la jeune fille sur son lit d'hôpital est vraiment un très joli moment d'émotion. Impossible également d'oublier le long monologue amer fait à des nouveaux nés dans des couveuses auxquels le clochard prédit un avenir de merde, les tirades allégoriques sur les ours ou encore le moment ou assis le regard dans le vide on le sent totalement désemparé par la répression envers les clochards qu'il a involontairement déclenché. Un vrai personnage avec de l'émotion, de la puissance et une épaisseur qui le démarque de la simple figure de justicier bourrin. L'acteur trimballe durant tout le film la mélancolie d'une figure de western assistant à l'effondrement d'un monde et de ses valeurs. A ses coté la jeune Molly Dunsworth est tout aussi convaincante dans son rôle de jeune prostituée redécouvrant la dignité au coté de cette improbable père de substitution qui aime voir en elle une enseignante. Si les autres personnages sont des figures de cartoons pour adultes, en revanche ce Hobo et cette pute ont vraiment ce petit supplément d'âme qui en font des êtres terriblement attachants et crédibles

    hobo with a shotgun

     

    Hobo with a shotgun est donc un véritable coup de cœur, alors que Machete m'avait un poil laissé sur ma faim, le film de Jason Eisener pourrait très vite devenir totalement culte. Outrancier mais pas branlé n'importe comment, délirant tout en gardant les pieds sur terre, monstrueusement gore et inventif Hobo with a shotgun n'est pas loin d'être le meilleur film estampillé Grindhouse sorti depuis la résurrection du genre. En attendant une bien hypothétique sortie en salle on peut toujours espérer que le film déboule très vite en DVD et Blu-ray.

     

    Ma note 08/10

     

     


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    Dismal

    de Gary King

    USA - 2009 - Horreur

    DISMAL de Gary KING

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    Pourquoi aller s'emmerder à acheter les droits d'un film pour en faire un remake avec en plus les hordes de fans qui vont vous tomber dessus alors que l'on peux s'inspirer, copier, plagier, imiter,singer, photocopier des films pour son propre compte afin de faire le sien. Et puis si l'on vient vous parler de ressemblance vous pouvez toujours sortir l'argument du tribut référentiel aux œuvres fondatrices de votre univers artistique. C'est sans doute à ceci que pensait Gary King lorsqu'il réalisait Dismal,  un film dont le premier mérite est donc loin d'être l'originalité.

    Dismal  raconte l'histoire d'une poignée d'étudiants qui partent au fin fond des bois afin d'étudier l'écosystème d'un marais afin de récupérer quelques points nécessaires à leurs examens de fin d'année. Le petit groupe est dirigé par l'assistant du laboratoire de biologie mais bien vite ils se retrouvent sous la menace d'une famille de cannibales.


    dismal 

    Dismal  est donc un film qui empreinte beaucoup sans jamais avoir le moindre petit soucis d'originalité. Le pré générique ainsi que le cadre des marais sont fortement inspirés de Butcher la légende de Victor Crowley  de Adam Green, les adolescents qui campent sont des archétypes de slasher dont les seuls intentions naturalistes sont l'exploration des zones humides et boisées des filles du casting et pour le reste le film pompe sans vergogne Détour Mortel  de Rob Schmidt pour la tronche d'un des méchants ainsi que l'aspect chasseur et Massacre à la tronçonneuse  jusque dans la scène mythique du repas de famille. Du coup comme on a tout le temps l'impression de connaître le film on ne sera pas surpris lorsque Dismal  nous ressort avec ses gros sabots le coup du flic qui vient sauver tout le monde mais qui en fait fait parti de la famille de cannibales ou encore lorsque l'assistant de labo bien gentil et propre sur lui nous montre sa vraie personnalité.

    dismal
     

    A défaut d'être original le film aurait put être efficace et bien foutu, mais ce n'est même pas le cas. La mise en place est longue et assez soporifique mais vu l'intérêt que l'on porte d'emblée aux personnages ce n'est pas une surprise. Ensuite on navigue entre lieux communs et ridicule absolu comme lorsque l'une des filles s'enfuit à travers les bois avant qu'un piège à mâchoires ne lui coupe net un pied, pas de soucis deux plans plus tard on retrouve la fille courant à cloche pied comme si de rien n'était avant qu'un second piège ne lui coupe le second pied, pour le fun j'aurais adoré voir la fille courir sur les mains mais visiblement Dismal est un film qui semble être bien trop sérieux. Autre moment magnifique lorsque l'une des victimes s'échappe en tenant une bêche à la main qu'elle ne lâchera jamais durant sa course histoire sans doute d'aller plus vite ou lorsque qu'après avoir tendu un piège à ses agresseurs une autre des filles rameute les méchants en tapant sur une casserole « Allez venez les garçons » lesquels rappliquent aussitôt comme des glands.

    dismal

    Pour parfaire le tableau les effets spéciaux numériques du film sont honteusement mauvais et totalement indigne d'une production même au budget réduit. Les effets gores sont laids et froid, les effets pyrotechniques (Feu, explosion) lamentablement foireux et à peine intégrés à l'image. Seuls quelques plans de jeunes filles courant dans les bois font illusion à condition d'oublier qu'ils sont fortement inspirés par Marilyn Burns dans le chef d'œuvre de Tobe Hooper.

    dismal

    Dismal  débarquera bien un jour chez nous dans les bacs Dvd, l'éditeur nous trouveras sans doute une belle accroche publicitaire et avec deux trois images bien choisit le produit semblera presque respectable. Pourtant rien n'y changeras Dismal est juste un très mauvais film dont le seul mérite est d'être parfois drôle à force d'être con.

    Ma note : 01/10 Pour la course à cloche pied

     

     


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